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12/07
Beaucoup de médiocres réussissent. La médiocrité rassure
La honte d’échouer est toujours plus forte que la tentation d’abandonner. Plus l’attente avant de finalement abandonner est grande plus l’abandon est difficile et plus l’échec est terrible. Abandonner rapidement permet de limiter les dégâts mais ne permet pas de prétendre à grand chose. Un Tiens vaut, ce dit-on, mieux que deux Tu l’auras; L’un est sûr, l’autre ne l’est pas. A l’évidence c’est une philosophie de l’abandon que les meilleurs n’ont pas suivit… en tout cas dans un premier temps.
Nina
10 décembre 2007
22:44
Plus tu pédales moins vite et moins t’avance plus vite. RIEN COMPRIS…
Sarkazm
11 décembre 2007
16:10
J’aime ne pas être trop clair mais je n’aime pas trop être incompréhensible. Y aurait-il des phrases sans aucun sens apparent?
smilodon
11 décembre 2007
23:18
Personnellement, je pense avoir à peu près compris : quelqu’un qui n’aime pas abandonner persévère, et l’échec, si il arrive, est bien plus difficile à supporter que si il avait abandonner tout de suite. Donc il ne faut pas s’entêter quand le cas est désespéré.
Mais il ne faut pas non plus abandonner tout de suite, sinon on n’arrive à rien.
PS : si j’ai vraiment rien compris, alors on pourrais envisager de plus amples explications…
Sarkazm
12 décembre 2007
17:09
Si on abandonne tout de suite on arrive pas à grand chose mais pas à rien…. A moins d’être vraiment nul. A part ça je crois que tu as bien reformulé.
clem
12 décembre 2007
19:32
Moi j’abandonne, de comprendre quitte à me confronter à l’échec…