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05/08
Manger des fleurs pour pouvoir les nourrir par la racine
La vie est comme un bon logiciel. D’abord, on l’installe, on la découvre et on la paramètre ainsi que son environnement pour pouvoir l’utiliser au mieux, puis on la met à jour pour profiter au mieux de toutes ses fonctionnalités, on s’y habitue, on lui ajoute des extensions, parfois inutiles, on la protège ou pas contre les virus, on la plante parfois, on la réinstalle souvent , on est au courant que d’autres vies font la même chose, peut être même mieux, mais on est trop habitué à la sienne pour en changer, on sait rarement comment elle fonctionne et on n’en connais jamais toutes ses possibilités, on l’admire et on se demande ce qu’on ferait sans elle, les mises à jour se font de plus en plus rares, elle devient inadaptée à son environnement mais on n’en change toujours pas parce qu’on croit l’avoir vraiment optimisée au mieux et on fini un jour par tout planter. La différence c’est que dans la vraie vie les choses qu’on plante finissent par pousser d’elle-même un jour ou l’autre. La vie est quand même mieux qu’un bête logiciel.
smilodon
15 mai 2008
20:03
Très intéressante, ta comparaison. Mais je dirais qu’il existe un moyen d’éviter la vie-logiciel, c’est d’être un "grand homme" : la célébrité, les anecdotes inattendues et passionnantes, et même les problèmes apparemment insolubles ajoutent à la vie un piquant qui empêche la monotonie.
Sarkazm
15 mai 2008
20:53
Oui mais je ne trouve pas la vie d’un logiciel monotone!
Mortue
16 mai 2008
19:53
les logiciels font des petits?
Sarkazm
16 mai 2008
20:49
Euh…, ils ont des descendants spirituels, sans aucun doute.
Cripure
22 mai 2008
08:33
Est-çe que çe ne çerait pas de çorneille ? Ou de Monçieur de Bouffon, naturaliçte et humoriçte çélèbre…
Sarkazm
22 mai 2008
18:13
Merçi de corriger, non sans humour, mes lamentables fautes d’orthographe.