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10/08
Jusqu’ici, tout va bien
La lumière de tes yeux a eu trop d’éclat ;
Moi qui pensais être seul à en profiter.
A peine remis, j’ai pu voir mes congénères,
Trous noirs géants déformant ton espace temps,
Ravissant ta lueur, la cacher à ma vue.
La flamme de tes yeux s’est éteinte pour moi.
Même, te voyant heureuse, je ne la perçois plus.
smilodon
11 novembre 2008
21:48
Curiosité peut-être déplacée (si c’est le cas, à supprimer) :
Le poème est-il de toi ?
Peut-on savoir si il s’adresse à quelqu’un en particulier, et, si oui, à qui ?
Sarkazm
11 novembre 2008
23:21
Oui le poème est de moi. De manière générale, tout ce qui est à l’intérieur d’un billet est de moi à moins que le contraire ne soit précisé. Je pensais effectivement à quelqu’un en particulier quand je l’ai écrit mais cela n’a aucun intérêt de savoir à qui. Sache simplement, curieux, que je l’ai écrit il y a plus de six mois.
Lénix
27 janvier 2010
18:43
Je n’en reviens pas d’avoir pu passer à côté de ça à l’époque ! Sinon je t’aurais forcément harcelé pour savoir de qui il s’agit … Ceci dit maintenant je t’interdis de te moquer de moi et de mes lettres mortes parce que visiblement, tu le fais aussi. et paf.