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On ne va jamais si loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va
Et si ni la cigale ni la fourmi n’étaient écologiques?
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smilodon
21 janvier 2010
22:28
J’ai un peu de mal à comprendre le billet…
Ces braves bestioles se moquent pas mal de tous les délires masochistes des hommes sur leur utilité dans le grand cycle de la nature.
Sarkazm
21 janvier 2010
23:00
Maître Corbeau, sur un arbre perché…
smilodon
24 janvier 2010
22:04
Mauvais exemple, le fromage a été transporté sur 8256 km, depuis la Tanzanie orientale, donc elle est profondément pas écologique celle-là non plus.
Sarkazm
24 janvier 2010
23:00
Je suis perdu là, de quoi parle-t-on? de fromage? J’aime bien la tomme et le langre personnellement.
Lénix
27 janvier 2010
18:32
Bonjour les jeunes ! Heureuse de voir que le site existe toujours (malgré une cadence moindre, mais c’est la vie). En tout cas je vois que ce cher Sarkazm est toujours aussi inspiré, et pour une fois je suis d’accord : si on sait où on va, on s’arrête, une fois arrivé à destination, mais si on part à l’aventure, on veut toujours aller plus loin pour savoir ce qui se cache après les derniers kilomètres … Et c’est malheureusement vrai en général, c’est peut-être en ne sachant pas exactement où nous emmène la vie que l’on finit par se retrouver dans un tout autre monde :)