La maxime du jour

Les secrets ne sont amusant que lorsque nous sommes au courant. Je déteste les secrets mais si vous me mettez au courant, je saurai les garder. Entre trahir la confiance des personnes pour qui vous n’avez pas de secret et celle de celui qui vous en a confié un, que choisissez vous?

L’homme seul au monde serait dans l’impossibilité de savoir qui il est, l’homme entouré ne sait pas qui sont vraiment les autres.

Faire mal les choses c’est comme jouer au loto, nous savons que la probabilité de gagner du temps est quasi-nul mais l’importance du gain nous fait perdre la raison. Pour bien juger il ne faut pas avoir de sentiments.

Et si l’homme avait été créé pour aider les cochons d’Inde à survivre? Mettez vous à la place d’un cochon d’Inde et vous ne trouverez plus cette « maxime » si drôle.

Le sport, plus encore que le travail, empêche de penser.

B.S. : Et là c’est l’expérience qui parle. Voilà deux soirée de match où je n’ai rien à mettre. On verra si je me laisse une nouvelle fois envahir par la tentation de facilité.

Et si la distance entre soi et soi-même qui permet d’avoir conscience de soi était simplement le temps? Ce serait alors considérer que le je analysé est un je passé, ou imaginé différent du je qui analyse, qui lui est le vrai puisque celui de l’instant présent. Voilà, à l’heure ou j’écris, ma définition de la subjectivité.

Et si ce qu’on remettait à demain était effectivement fait le lendemain? On pourrait atteindre une productivité conséquente, peut-être même optimale.

Le coût de la vie, c’est la souffrance, mais pour la plupart d’entre nous la vie vaut plus que son coût; ce qui ne veut pas dire que nous n’ayons pas parfois la légère impression de nous être fait avoir.

Le bonheur est comme une maladie, personne ne peut vous le prendre mais les gens autour de vous peuvent être contaminés. On ne peut pas partager son bonheur, on peut juste amener les autres à oublier leur malheur.

B.S. : Hier j’avais trouvé quelque chose mais je l’ai oublié. Les pensées volent, les écrit restent.

La vie est dure: on peut avoir des responsabilités sans pouvoir mais pas de pouvoir sans responsabilités.

Nous recherchons avant tout les endroits où nous manquons à d’autre personnes mais malheureusement ces endroits sont bien plus rares que les endroits où nous manquons. Le schizophrène n’a pas ce problème, où qu’il aille, ce sera un endroit où il manque à lui-même; dans la mesure bien sûr où lui et lui-même se trouvent inséparables. Enfin, lui au moins ne se sentent jamais seuls.

Quelqu’un d’intelligent comprend, mais une personne compréhensive est elle forcément intelligente?

Toute société tend naturellement à devenir plus compliquée. En outre, plus il y a de monde, plus il est difficile d’avoir une vision d’ensemble sur tout.

C’est tellement facile de prouver qu’on est ce qu’on n’est pas qu’il en devient glorieux de montrer ce qu’on est.

La logique n’aime pas la philosophie qui, la pauvre, trouve des questions en cherchant des réponses.

Et si les matchs de rugby étaient suffisamment prenants pour empêcher de trouver des maximes? Ça donnerait ça.

On n’est pas responsable de ce qu’on est mais de ce qu’on fait. Mais si on est responsable de ce qu’on a fait, ce qui fait justement ce qu’on est actuellement alors on est responsable d’une partie de ce qu’on est. Est-on encore vraiment celui qui a fait ce qu’on est? Si on ne l’est plus alors on est plus du tout responsable de ce qu’on est mais on n’est plus responsable que de ce qu’on fait au moment où on le fait à condition que ce que l’on fait change ce que l’on est.
Bon , fini de s’amuser avec les sons et les mots pour aujourd’hui.
Bonnes réflexions tarabiscotées.

Et si Dieu était philosophe? Ça expliquerait pas mal de choses. S’il est philosophe c’est qu’il a des problèmes à résoudre c’est que même pour lui tout n’est pas parfait, c’est que cherchant un sens à son existence, il a très bien pu nous créer un jour par divertissement et depuis, je suis sûr qu’il se marre bien plus… Il doit se dire qu’il a accompli son destin.

…et la confiance en soi celui de soi-même?

B.S. : J’ai changé le titre d’hier pour le remettre celui d’aujourd’hui (en restant dans du Sacha Guitry).

La logique part du principe qu’elle a raison, mais qui a jamais démontré que c’était vrai?

Et s’il suffisait d’aimer pour être aimé en retour? Le monde connaitrait-il encore l’incompréhension, le mépris et la haine?

B.S. : Deux billets aujourd’hui pour vous faire oublier qu’il n’y en a pas eu depuis deux jours.

La véritable intelligence c’est l’ouverture d’esprit. Si on est ouvert d’esprit, on peut tout faire.

Les gens intéressants à observer sont les gens qui observent d’autre gens et les gens que ces gens observent et qui ne se savent pas observés.

Avoir confiance, n’est ce pas par définition savoir qu’elle peut être déçue? Quelqu’un d’intelligent fait confiance, certes, mais prévoit toujours le pire.

Et si le but de la vie c’était de la comprendre?

C’est quand on est célèbre qu’on devrait pouvoir moins se soucier de son apparence. En effet quelqu’un de célèbre est déjà connu en parti par les inconnus et n’a donc pas à chercher à prouver ce qu’il vaut par ses habits, bijoux. Bien sûr il faut qu’il cherche à ressembler le plus possible à lui même pour qu’on puisse le reconnaitre.

Le futur n’est jamais sûr
Le passé ne l’est pas assez
Et le présent ne dure qu’un temps
Mais c’est le seul moment qu’on vit vraiment, réellement, pleinement

Philosopher c’est résoudre des problèmes qu’on aurait jamais eu si on ne s’était pas posé de questions.

Une nouvelle catégorie apparait aujourd’hui dans laquelle seront mise les nouvelles de ce genre. La maxime du jour contient aujourd’hui 60 billets et ses couleurs ont changé dans le but de rendre le blog moins laid. Faites également un tour dans la présentation qui a été mise à jour. Il faut aussi noter que les adresses maximedujour.moi.fr et mdjour.free.fr pointent désormais vers cet humble blog.

On ne peut philosopher sans orgueil.
Je m’explique: philosopher c’est penser qu’on va pouvoir résoudre des questions que presque tout homme sur terre s’est posées et auxquelles certains des plus grands penseurs de l’histoire n’ont jamais pu apporter de réponses suffisamment satisfaisantes pour qu’une majorité d’entre nous les accepte. Oh bien sûr, toute cause n’est jamais perdue, vous me direz, mais quand même…

Ne pas acheter quelque chose, c’est presque comme gagner une deuxième fois son argent.