La maxime du jour

On ne suit jamais une autre philosophie que la sienne propre.

On s’habitue à tout, surtout au luxe.

Le temps passe vite mais il en reste toujours.

La réalité inspire toujours le mythe mais le mythe le lui rend bien.

Et si on avait définitivement tué le bon goût?

C’est en ne taisant rien de ses pensées qu’on aide les autres à se rendre compte de l’importance de leur hypocrisie.

Pour qu’une dépression soit intéressante à raconter il faut broder, exagérer, inventer autour. La vrai dépression n’est pas racontable telle qu’elle.

La vie n’est pas courte, elle se déroule simplement trop rapidement.

La peur de l’inconnu nous pousse à nous faire non pas des amis, mais de très bons amis.

Et si on se lassait de Dieu et de philosopher comme on se lasse d’un passe temps?

B.S. : Alors ce blog n’aurait pas d’avenir… Qui lira verra…

Et si on venait de passer à côté du pire? Et si on commençait à penser à de vrais changements plutôt que de se contenter d’une nouvelle tête?

B.S.: Je fais ici référence à l’actualité

On ne découvre rien sans hasard.

La priorité n’est pas toujours de définir l’ordre de ses priorités.

La lumière de tes yeux a eu trop d’éclat ;
Moi qui pensais être seul à en profiter.
A peine remis, j’ai pu voir mes congénères,
Trous noirs géants déformant ton espace temps,
Ravissant ta lueur, la cacher à ma vue.
La flamme de tes yeux s’est éteinte pour moi.
Même, te voyant heureuse, je ne la perçois plus.

Le peuple est égoïste et l’élite égocentrique. Qu’attendre alors des hommes politiques : élite élue par le peuple?

Les autres ignorent la majorité de ce que nous savons.

Les gens qu’on peut classer dans une catégorie uniforme sont rares et c’est heureux car ces gens sont bien moins intéressants que les autres.

Et si on ne grandissait que pour rester à la mode de sa génération?

Il y a du bon à court terme dans tout cercle vicieux sinon qui quitterait les cercles vertueux?

Mais nos mots signifient malheureusement souvent bien plus que ce qu’on voulait leur faire dire.

Il est beaucoup plus difficile de prendre une décision qu’on n’a jamais prise.

Est-on plus perdu quand on ne sait pas qu’on l’est?

On s’adapte naturellement mais il faut réfléchir bien plus pour se réadapter.

A quoi bon mourir si on se remet de la mort? Quoiqu’il en soit, on peut se remettre de tout de son vivant.

L’homme sans aucune attache est libre mais ne peut plus se retrouver. La liberté peut être dangereuse.

La peur de mourir est la dernière occupation des gens qui s’ennuient.

Ce n’est pas parce qu’on ne se pose plus de questions qu’on les a toutes résolues.

B.S. : Et si je n’était plus capable de m’inventer des questions?

C’est ceux à qui la souffrance manque qui ont déjà beaucoup trop souffert.

Le vrai paresseux ne fait pas de calculs pour pouvoir paresser le plus longtemps possible et c’est pourquoi son activité est vouée à l’échec.

Et s’il valait mieux ne jamais penser qu’on va aimer les gens?

Ce n’est qu’en découvrant une vérité qui fait mal qu’on comprend pourquoi notre inconscient l’évitait.

B.S. : LEM?