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04/08
Rien de nouveau sous le soleil
Et si on pouvait abuser des bonnes choses? Alors ça ferait longtemps qu’elles auraient disparu.
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Agathe
26 avril 2008
16:31
hum … pas sûr. Ce ne serait relatif qu’à une seule personne, celle qui aurait abusé.
On ne peut pas tous abuser des mêmes choses, l’individualité et les goûts personnels nous en empêchent.
Pour certains, une bonne chose, c’est une sieste au soleil, alors que pour d’autres, c’est une assiette de tripes à la mode de Caen !
Et le plaisir que nous avons à faire quelque chose dépend-il uniquement de la fréquence à laquelle nous la faisons ?
Sarkazm
26 avril 2008
19:21
Bien sûr mais si toute les choses bonnes de manière subjective ont disparu alors toutes les bonnes choses ont disparu, non? Et le plaisir que nous avons à faire quelque chose ne dépend évidemment pas de la fréquence à laquelle nous la faisons mais lorsqu’on en abuse, le plaisir disparait toujours. Mais en y repensant, un drogué te dirait sans doute l’inverse, s’il pouvait abuser de la drogue (encore plus), il le ferait sans y perdre de plaisir.
Nina
26 avril 2008
21:46
Faux. Le drogué te dirait qu’après un certain temps il n’y a plus de plaisir, il n’y a que la dépendance…
Sarkazm
26 avril 2008
22:09
Tant mieux alors, ça veut dire que j’ai raison.