La maxime du jour

Et si être riche obligeait à se sentir investit d’une dette envers les les plus pauvres?

La beauté doit être un moyen, jamais une fin.

B.S. : Surtout dans une œuvre d’art.

On ne peut pas grandir sans apprendre à mentir.

Faire partie d’un groupe, c’est savoir sacrifier sa liberté individuelle au profit de la liberté de tout le groupe.

Et il y a un grand plaisir dans l’improvisation.

Les sentiments inhibent le travail. Il n’est donc pas étonnant que les hommes d’affaires n’en aient pas.

Et si la vie n’était qu’une fuite?

En France, à salaire égal, les femmes ont un meilleur poste !

On mesure mieux le risque d’un acte après l’avoir accompli.

B.S. : Cette maxime fait penser à une autre.

Au cas où certains ne l’auraient pas remarqué, la maxime du jour a changé de peau. J’espère que vous aimez cette nouvelle version. En tout cas, n’hésitez pas à donner votre avis!

Relire ses écrits, c’est s’écouter soi même. C’est une chance trop rare.

B.S. : Relire son blog, c’est aussi trouver et corriger plein de fautes…(de syntaxe et d’orthographe bien sûr!)

La manière la plus facile de devenir célèbre est de faire n’importe quoi.

Donner un sens à une œuvre est un luxe appréciable, la priver d’émotion est une faute impardonnable.

J’ai le plaisir de vous signaler l’ouverture d’un petit site où je mettrai dorénavant quelques photographies. Ce site ne sera pas mis à jour de manière aussi régulière que ce blog.

Si vous voulez me faire l’honneur de votre visite, c’est à cette adresse : http://grantangle.free.fr

A Dimanche (ou plus tôt? ou plus tard?) pour une nouvelle maxime.

Seule la mort arrête notre évolution.

On ne peut être discipliné sans l’être d’abord avec soi-même.

On peut toujours trouver compliquées les choses simples.

Les gens vraiment heureux sont toujours occupés.

Sans imprévus, il n’y a pas de vie non plus.

Il n’y a pas de voyage sans imprévus.

B.S.: Autant rester chez soi, sans cela.

Si notre langue avait moins de synonymes, nous aurions moins de préjugés.

B.S.: De là à vouloir l’appauvrissement de la langue…

Si on veut laisser des enfants et laisser un monde, n’est-ce pas par conviction, par intuition, par morale et par amour? Ces raisons étant toutes autant indémontrables?
Dès lors, ce n’est pas avec des arguments qu’on peut convaincre quelqu’un qui ne le serait pas déjà, de laisser le monde être beau après sa mort.

On connait toujours plus rapidement, plus facilement, qu’on ne comprend.

Seul le hasard nous donne la force de nous renouveler.

Il faut savoir se tenir à distance des gens qu’on aime trop.

B.S. : Oui, on peut aimer trop, et donc mal.

La désillusion ne découle pas du rêve mais de la prétention.

On n’imagine qu’en oubliant le présent.

Choisir de travailler, c’est choisir d’espérer.

Pour ne pas voir, il suffit simplement de ne pas regarder.

Fuir sa souffrance, ce n’est jamais comme la résoudre.

En principe, on fait des entorses à ses principes et en principe on le regrette.