La maxime du jour

L’humour partage bien plus les gens selon leur culture que selon leur intelligence.

Quand les gens nous manquent, ce sont aussi les situations que leur présence permet qui nous manquent.

L’évidence n’est pas toujours évidente.

Il est bien plus dangereux de ne pas avoir d’égo que d’en avoir trop.

Les projets peuvent murir en nous sans jamais pourrir.

B.S. : Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut jamais les abandonner.

Et si on donnait une date de péremption aux lois?

Écrire ses pensées, c’est les faire durer.

Le sentiment le plus facile à communiquer est l’ennui.

B.S. : Loi de l’emmerdement maximum?

Et si l’intelligence était la capacité à prendre du recul?

Il faut savoir rester capable de sortir à tout moment du rôle dans lequel on est volontairement entré.

Une obsession, c’est de la fatigue mélangée à de l’inquiétude.

Il ne faut pas non plus faire à autrui ce qu’il n’aime pas qu’on lui fasse.

Ce n’est pas parce qu’il y a une solution qu’il n’y a plus de problème.

On ne sort de la dépendance qu’en refoulant nos pensées.

Je pense, je suis, mais je ne suis jamais ce que je pense.

Toutes les habitudes peuvent se perdre.

Discuter c’est associer sa pensée à celle des autres.

Le plus dur est d’atteindre son objectif sans en trahir les raisons originelles.

Comme cela fait longtemps voici un petit billet de nouvelles et de statistiques inutiles.

Il y a à ce jour 489 billets répartis en 6 catégorie comme suit :

Maxime du jour : 382
Et si? : 69
Spécial : 14
En panne d’idées : 14
Nouvelles du blog : 9
Poèmes : 1

Le nombre de visiteurs reste constant. Les Canadiens, les Belges et les Suisses sont, après les Français, les principaux visiteurs de ce blog en 2010.

La maxime du jour continue en 2011. J’espère qu’elle améliore la vie d’autres que moi.

Et si les idéaux étaient véritablement une préoccupation bourgeoise?

Quand une chose nous embête, la tendance est de n’y penser qu’à partir du moment où il est déjà trop tard.

On aime souvent détester ce qu’on aime parce qu’on déteste souvent aimer ce qu’on déteste. Et vice-versa.

B.S. : Il est souvent difficile de comprendre une tautologie.

On ne peut pas décider précisément de notre vie mais seulement lui donner quelques directions.

Et si vouloir très fort quelque chose était toujours infantile?