La maxime du jour

Il faut avoir les moyens de trouver le moyen de faire des choses bien sans moyens!

Les pusillanimes finiront paresseux.

Et si ni la cigale ni la fourmi n’étaient écologiques?

Les plus dangereux de vos ennemis sont hypocrites.

Souvent, on simplifie pour raconter moins longtemps.

Et si le plus dur était de mettre de l’ordre?

On n’échappe pas à la modernité.

L’homme détaché est en réalité un homme ramolli.

Raconter est une forme de pouvoir.

Dans le doute, il faut persévérer en tout, sauf dans le doute. Si on doute, on ne fait rien de bien.

Le réconfort se trouve dans l’autre, dans la découverte, dans le travail ou dans la création. On ne peut le trouver en nous même, l’environnement est indispensable à notre réconfort.

L’absence de perspectives cloue tout homme sur place.

B.S. : Merci de ne pas y voir une allusion religieuse, ce blog est apolitique.

S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il faut savoir oublier le problème.

B.S. : Je parle bien ici d’un problème, pas d’un exercice de math, d’une énigme ou d’un mystère…

Une histoire commence
avec une incohérence

Une maxime se mérite. Elle ne vient jamais d’elle même, il faut toujours aller la chercher.

On oublie quelqu’un seulement avec quelqu’un d’autre et quelque chose avec autre chose.

Est malheureux celui qui ne peut penser à rien d’heureux.

La vie est basculement sans fin vers l’avenir. Il faut choisir la direction de la prochaine bascule si on veut vivre heureux.

Voyager, c’est prendre et passer du temps ailleurs. Un voyage n’est surtout pas un trajet.

Simplifier, c’est trahir.

Organiser sans hiérarchiser est possible mais inutile car c’est créer un nouveau désordre mais dans un coin différent.
Cela vaut aussi bien pour une société que pour une pièce mal rangée.

Pour réussir, il faut savoir se concentrer uniquement au moment opportun car la concentration s’épuise vite.

Nous avons souvent de bonnes idées. Le plus dur est de les avoir au bon moment!

L’amour est oppressant.

Créer c’est vivre, consommer, c’est survivre.

Voici quelques nouvelles du blog après plus de deux ans d’existence.

Comme vous avez pu le remarquer, la maxime du jour a été rebaptisé officiellement la maxime de la semaine. L’adresse du blog reste cependant inchangée. Dans les faits, cela fait plus d’un an que je n’écris plus qu’une maxime par semaine pour des raisons somme toute obscures car j’ai eu plus de temps que l’année précédente.

Au moins ce blog ne parle-t-il que rarement de lui-même au contraire de ce que j’avais théorisé, mais peut être est-ce parce qu’il ne se développe plus assez régulièrement…

Avec ce billet la maxime du jour contient à présent 404 billets répartis en 6 catégories comme suit :

Maxime du jour : 304
Et si… : 66
Poème : 1
Spécial : 14
Nouvelles du blog : 7
En panne d’idées : 12

Il continue à y avoir des visiteurs (dont près de 40% reviennent) et c’est la raison pour laquelle ce blog vit toujours. Les trois principaux pays visiteurs sont la France, la Belgique et le Canada. Je suis heureux d’avoir dépassé le 365,25ième billet et la prochaine étape est le 366 billet dans la catégorie Maxime du jour. J’oublierai probablement de le célébrer mais ça sera une étape.

Y a-t-il des maximes qui vous ont marqué cette année? Le glorieux concours consistant à deviner l’auteur des titres des billets n’attire plus grand monde et c’est dommage parce que vous ne saurez jamais s’il y a quelque chose à gagner avec les points. Sont-ils vraiment aussi inutiles que des points Panzani ou Nutella?

Les relations peuvent commencer de n’importe quelle manière mais elles ne dureront que par la force de la vérité.

Un hommage, un malentendu, un piratage, une amélioration, un hasard, un pillage ou une trahison.

B.S. : Hamlet acte III scène 1 :
Ainsi la conscience fait de nous autant de lâches ;
Ainsi la couleur native de la résolution
Est toute blêmie par le pâle reflet de la pensée,
Et telle ou telle entreprise d’un grand élan et d’une grande portée,
À cet aspect, se détourne de son cours
Et manque à mériter le nom d’action.

L’exemple tiré d’Hamlet est là pour le titre (la procrastination) plus que pour ma suite de mots (la copie).

Souvent, le langage pense à notre place.

Est-ce-que le mal existe pour qu’on ait l’idée du bien ou bien est-ce le bien qui existe pour qu’on ait l’idée du mal? A moins, bien sûr, que les deux idées ne viennent de nous.

Un vieux con est une personne qui a oublié son enfance, et seul un imbécile peut vouloir l’oublier.