La maxime du jour

Et si l’homme ne s’était mis à parler que par hasard ?

Et si donner un pourboire consistait en réalité à rémunérer une prestation d’artiste ?

B.S. : Dans les pays où le pourboire n’est pas obligatoire.

Et si nous connaissions toujours la suite? Notre plaisir ne serait-il pas toujours gâché?

Et si les religions n’existaient que pour diviser les hommes?

Et si les administrations étaient plus conciliantes? Alors le pouvoir serait moins attirant.

Et si la meilleur définition d’internet était : « Lieu de distraction permanent » ?

Et si la religion répondait simplement au besoin humain de se poser pour réfléchir?

Et si le climat était la principale source d’influence de la culture d’une population?

Le doute est nécessaire à l’intelligence or les leaders ne se permettent que rarement de montrer qu’ils sont capables de douter. Est-ce-donc que nous préférons être dirigé par des cons?

Et si nous étions à la veille d’une révolution? Ou même déjà en pleine révolution?

B.S. :  Ce blog abhorre la politique, vous le savez bien.

Et si on donnait une date de péremption aux lois?

Et si l’intelligence était la capacité à prendre du recul?

On ne sort de la dépendance qu’en refoulant nos pensées.

Et si les idéaux étaient véritablement une préoccupation bourgeoise?

Et si vouloir très fort quelque chose était toujours infantile?

Et si la majorité des gens ne vivaient pas dans le réel?

Et si trouver un nom était la première étape pour se faire un nom?

Et si être riche obligeait à se sentir investit d’une dette envers les les plus pauvres?

Et si la vie n’était qu’une fuite?

Et si ni la cigale ni la fourmi n’étaient écologiques?

Et si le plus dur était de mettre de l’ordre?

Et si les gens bêtes étaient simplement ceux qui n’aiment pas penser?

B.S.: Je pars en vacances pour deux semaines. Pensez à vos propres maximes!

Et si un vrai perfectionniste était incapable d’achever ce qu’il entreprend?

Et si la raison contrôlait le cœur? Alors il y aurait beaucoup beaucoup plus de gens seuls.

Et si on ne pouvais faire bien qu’à condition de savoir juger correctement ce qu’on fait? Alors les artistes seraient avant tout des critiques.

Et si on avait définitivement tué le bon goût?

Et si on se lassait de Dieu et de philosopher comme on se lasse d’un passe temps?

B.S. : Alors ce blog n’aurait pas d’avenir… Qui lira verra…

Et si on venait de passer à côté du pire? Et si on commençait à penser à de vrais changements plutôt que de se contenter d’une nouvelle tête?

B.S.: Je fais ici référence à l’actualité

Et si on ne grandissait que pour rester à la mode de sa génération?

Et si les gens devenaient moins paresseux intellectuellement? Alors la plupart des entreprises du secteur tertiaire seraient bientôt en faillite.

Et si l’intelligence était la volonté de comprendre comment et pourquoi les autres se sont pris, se prennent, et se prendront la tête?